Jean-Corentin a 15 ans lorsqu’il décide d’aller se battre, il veut faire la guerre. Cet enfant du Faouët (village breton) va alors s’inventer une identité pour s’engager.
Il va mentir à ses parents pour servir son pays, et aussi mentir à l’Etat.
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Jean-Corentin a 15 ans lorsqu’il décide d’aller se battre, il veut faire la guerre. Cet enfant du Faouët (village breton) va alors s’inventer une identité pour s’engager.
Il va mentir à ses parents pour servir son pays, et aussi mentir à l’Etat.
Céleste est un sacré aviateur qui fait aussi bien les loopings que la cour… En d’autres termes, c’est un dragueur né ! Mais c’est sans compter sur la première guerre mondiale…
L’aviateur émérite doit livrer les courriers des poilus à leurs compagnes jusqu’au jour du drame : son avion est en ligne de mire de l’ennemi ; il est abattu.
« Terminus, en Tchétchénie, bienvenue en enfer » lance le chauffeur de car qui emmène Ekaterina sur la ligne de front. Que cherche-t-elle ? Son fils. Les autorités tchétchènes ont fait savoir à toutes les mères de soldats russes qu’elles leur rendraient les prisonniers si elles venaient les chercher.
Ni une ni deux, Ekaterina part avec son petit chien Milyi chercher son fils Volodia. Cette femme rude et déterminée trouvera alors son sur chemin des soldats, des enfants, des femmes…tous des combattants comme elle.
Mais où est Volodia dans tout cela ?
“Saint-Malo, août 1944, la guerre fait rage. Basée sur l’île de Cézembre, l’armée allemande tente de contrer la progression des troupes américaines.
Alors que couve le combat pour la libération de leur cité, le jeune Ewan, dix-huit ans, et ses amis Corentin, Marie et Théo cherchent à entrer dans la résistance.”
Dernier tome de cette merveilleuse série. Yann a décidement le don du suspense jusqu’au bout. Avec les interrogations qui n’ont pas arrêté de trotter dans ma tête : Mais de quoi cette série parle ?
OK, cela se passe pendant la première guerre mondiale, il s’agit de deux frères, Henri et Alphonse de Castillac, qui sont sur le front, l’un dans une unité de char, l’autre dans l’aviation. Mais qui est donc cette femme ? Qui est ce pilote à l’Edelweiss ? Un pilote allemand, d’accord. Mais…. Que veut il ? Quel rôle joue t il ?
Un comics qui allie space opera, love story et violence… On y suit deux amants interdits et leur nouveau-né, qui tentent d’échapper à un monde en guerre. Des voyages intergalactiques, des concepts originaux, un éventail de créatures parfois belles, parfois cruelles…. Vous ne serez pas déçus du voyage !
Le capitaine Léo Berger est un ancien de l’aéropostale, tout comme son ami St Exupéry. Un lien fort d’amitié s’est créé, comme souvent dans le milieu aéronautique.
1942, l’un comme l’autre sont pilotes dans l’armée française, au service de la Patrie. Mais en 1936, l’extrême droite a pris le pouvoir en France, et les Anglais ne sont pas nos amis. Depuis que l’Allemagne nazie a été battue, les Anglais sont les seuls qui possèdent une démocratie en Europe.
Pendant la guerre, les journaux jeunesse n’ont guère paru. Faute à la restriction papiers.
Pourtant quelques irréductibles font paraitre, sous le manteau, les précieuses pages pour réconforter à la foi les enfants et les adultes. Mais aussi pour contrer les quotidiens contre les éventuels mensonges propagandistes.
“Spirou sous le manteau” présente quelques couvertures parues entre 1943 et 1944, toutes dessinées par Alec Séverin, dessinateur peu connu du grand public.
Les dessins des couvertures présentés dans l’album sont tout de même dans l’empreinte de cette période néfaste de la seconde guerre mondiale. Spirou et Fantasio se font les porte-paroles de la Liberté et de la résistance contre l’envahisseur. Tour à tour, dans ces couvertures, nos héros se montrent résistants, débrouillards, généreux et réconfortants.
Une page (pas plus) où il ne règne qu’un seul mot d’ordre : rire
Cet album, loin des classiques, est sorti dans le cadre des 75 ans de Spirou… On ne peut que félicité une telle initiative !