Philippe Pelaez et Alexis Chabert nous proposent un polar dans le Paris de la Belle Époque, magnifiquement mis en images. Entre puissants industriels, artistes peintres et condition féminine, une enquête qui s’annonce épique !
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Pendant la guerre 14-18, Ferdinand Tirancourt est un vendeur de vin sans scrupule. Embarqué malgré lui dans les tranchées du Nord-Est, il se retrouve au bagne de Cayenne. Il va devoir puiser dans ses ressources mentales et physiques pour se sauver de ce nouvel enfer. Mais s’échappe-t-on vraiment du bagne sans perdre son humanité ? Une excellente deuxième aventure qui nous emporte au bout du monde dans la rudesse du monde pénitencier.
Garalt, le meilleur chevalier du monde, est revenu d’entre les morts. Quand Philippe Pelaez et Laval NG adaptent un poème de la Renaissance écrit par L’Arioste en 1516, cela donne une saga d’héroïc fantasy épique et magistrale !
Dans « Le bossu de Montfaucon », Philippe Pelaez et Eric Stalner aménagent l’histoire de France en y intégrant le célèbre bossu de Notre Dame. Entre faits historiques authentiques et aventures spectaculaires, une belle série de cape et d’épée !
Au début des années 1900, une série de meurtres est perpétrée sur des notables parisiens. La police soupçonne les Apaches, une bande de jeunes voyous qui terrorise la capitale. Mais certains indices font penser à l’inspecteur Gosselin qu’il s’agirait plutôt d’une vendetta. Il poursuit alors son enquête dans les bas-fond de Paris. Une très belle première partie pour cette enquête historico-policière !
Pinard de guerre. Un titre qui claque, comme un bouchon de liège expulsé d’une bouteille de champagne. S’inscrivant dans la tradition de la littérature consacrée aux salauds de guerre, une nouvelle série qui a tout d’un bon millésime. Santé !
Nom d’un petit bonhomme… ou plutôt nom d’une petit bonne femme ! Quand le MI6 est en panique, une seule solution s’impose : faire appel à l’agent spéciale Marie-Madeleine Madac-Miremont, et là ça déménage !
Revenir après la guerre. Conserver ses cicatrices sans que celles-ci n’émergent devant les autres. Faire face aux regards. Et être prêt à se battre à nouveau contre un nouvel ennemi : la rumeur ! Avec ce one-shot, Philippe Pelaez et Victor L. Pinel relèvent le défi de ne pas tomber dans le creuset du fatalisme, et livrent un récit juste et touchant.
«Rapport du commandant Sylan Kassidy. 12 juillet 2082, le 374ème jour de la mission Orus.
Le sergent Sparkey et le soldat Silverstone, partis en reconnaissance, sont portés disparus. Ils ont été victimes d’attaques successives et d’une défaillance du matériel, qui ne leur a pas permis de retrouver le vaisseau.
Nous n’avons aucune indication sur la nature des agresseurs. Seule certitude : ils sont nombreux.
Autre certitude : cette planète, malgré son atmosphère idéale et la présence d’eau, est clairement hostile.»