Les chimères de Vénus – Tome 1

Ecrit par BennyB le 17 décembre 2021

« 1874, les vaisseaux des puissances terrestres s’élancent dans l’éther pour conquérir les planètes du système solaire. L’actrice Hélène Martin débarque sur Vénus, monde sauvage couvert de brume, à la recherche de son fiancé, un poète évadé des bagnes de Napoléon III. »

« Les chimères de Vénus » est une nouvelle épopée qui se situe dans l’univers de la série « Château des étoiles » créée par Alex Alice.

Nous sommes en pleine uchronie. La conquête spatiale bat son plein. Après la Lune et Mars, c’est Vénus qui est à l’honneur.

Cette planète jumelle de la Terre a évolué différemment. La nature est restée sauvage et abrite d’effrayantes créatures. Prenez garde, les dinosaures ne sont jamais loin !

Cette nouvelle aventure est scénarisée par un maître du genre, Alain Ayroles. On lui doit notamment les inoubliables séries « Garulfo », « De capes et de crocs » ou plus récemment « Les Indes fourbes ».

Les dessins sont assurés par Étienne Jung. Il ne ménage pas ses peines pour nous immerger dans ce monde fantastique : vaisseaux rétro-futuristes, décors de grandes villes ou de jungle épaisse. La fluidité de la mise en scène nous ferait presque nous croire dans un dessin animé !

Cette grande aventure a la saveur des grand récits de science-fiction d’antan à la Jules Vernes. On se passionne pour les personnages, on est captivé par ce nouveau monde à découvrir.

C’est une invitation au voyage qu’on ne pourrait refuser.

Comme le dit si bien l’héroïne Hélène Martin :

« Lire une carte, c’est déjà voyager.
On rêve à ce que l’on va découvrir, ou retrouver. »

Dépaysement garanti pour cette saga prévue en trois tomes. Vivement la suite !

En bref

Série en cours (1 tome paru)
Une BD de : Alain Ayroles et Étienne Jung
Édition : Rue de Sèvres

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Bio
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BennyB

Co-fondateur de la Loutre Masquée, il est né en 1743, un samedi. Son but dans la vie : rendre le monde meilleur, avec des sites internet à base de loutres. Et il trouve que Spirou a vachement plus la classe que Tintin, quand même.