Pour une fois, ce sera une BD Jeunesse qui sera commentée.

Les blagues de Toto…. que du bonheur ! Qui ne connait pas au moins une blague de Toto ? Qui n’a jamais entendu parler de Toto ?

Cette fois-ci, Toto fait ses blagues en classe. Naïveté suprême ou délicieuse facéties d’un enfant dont on se demande s’il est bête ou sublimement intelligent… Mais ces blagues en sont-elles véritablement ??
Je ne crois pas. Certaines d’entre elles font plus penser au calvaire parentale ou professorale. Des jeux de mots d’enfants sous forme humoristique, telle est ma conception de cet ouvrage qui peut faire le bonheur de tous les enfants.

Laurent Gaulet a dû prendre beaucoup de plaisir soit à réunir ses blagues, soit à les créer, attentif au monde de l’enfant. Aki, l’illustrateur, ajoute une note somme toute sympathique à ces blagues. Toto étant l’acteur principal à chaque pages. La couleur rousse de la chevelure de Toto fait penser à Poil de carotte. Mais contrairement au personnage de Jules Renard, celui ci est plein de vie.

Les auteurs ont ajouté des pages de devinettes, des rébus, des gages et des cocottes en papier. De quoi, chers parents, vous amusez avec vos bambins pendant quelques heures.

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Un banal accident de camion va révéler la fabuleuse histoire de petits êtres qui vivent cachés du monde des hommes.

Heu… non, vous avez tout faux si vous pensiez à des lutins et autres farfadets. Il s’agit d’êtres humains qui se sont retrouvés une nuit, mesurant une vingtaine de centimètres.

Grâce aux carnets retrouvés des ancêtres de Jean-pierre Joblin et d’Olivier Le Discot, nous pouvons enfin avoir une idée sur ces phénomènes rares, ces monstres qui hantent l’imaginaire des hommes.

Jusqu’à présent, toutes les histoires et légendes narrées par nos aïeux n’étaient que mystifications et séances de rires discrets.

Le mercredi matin pendant que ma fille s’exerce à la “salle des galipettes” (entends par là cours de gymnastique), j’erre dans un centre commercial  proche de son cours. Je déteste les centres commerciaux, vraiment, mais les mercredis matins ont la désagréable habitude d’être pluvieux, ben oui je vis pas du tout à Avignon, et force est d’admettre que le bon sens m’appelle vers le confort au moins sec du centre commercial où mon fils et moi traînons nos guêtres pendant 1 heure 1/4.

J’y prends un café. Je n’aime pas le café. Mais mes nuits toujours trop courtes ne me laissent pas d’autre option. J’ai toujours les mêmes voisins au café, deux petits vieux qui font des efforts pour ne pas avoir  l’air vieux et y’en a même un qui s’épile les sourcils, pas non plus en mode Priscilla folle du désert, mais la forme de ses sourcils lui donne un drôle d’air drôle. En face de moi il y a très souvent une vieille dame très élégante qui force un peu sur le léopard, mais c’est pas moi qui vais lui jeter la pierre, même si du coup je me suis fait la réflexion que quand même il y a un âge où le léopard vieillit mal et que globalement il devient peu flatteur, disons que du coup ça fait plus “Régine” que “Gwen Stefani”, si je ne m’abuse. Bref…

Puis je déambule entre le monoprix où à chaque fois je me pince pour ne pas m’acheter un énième vernis à ongle, et également entre la fnac, où je n’achète en général rien car j’ai un fond de militante un peu médiocre mais qui quand même met un point d’honneur à acheter ses livres chez le libraire. Bon et bien des fois cette militante va se faire  voir, cède et achète un bouquin à la Fnac. Et le mercredi d’il y a quelques 2 semaines, vlà ti pas que je tombe sur çà:

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L’histoire se déroule du temps de la dernière guerre punique. Romains et Carthaginois se livrent à une dernière bataille.

L’action centrale se partage entre deux mercenaires déserteurs qui s’acoquine avec une fille issue d’une guilde des voleurs et une ville assiégée par les Romains de Scipion Emilien.