Spyware – Otaku

Ecrit par Bubu le 16 juillet 2013

Cham est un auteur littéraire à succès. Le jour où son éditeur remarque que son dernier roman a été publié dans une autre maison d’édition, celui-ci ne comprends pas.
Il lui est fidèle depuis le début de sa carrière, et ne voit pas pourquoi il ferait défaut à cette pensée, et au responsable de l’édition qui est devenu un ami.

Mais voilà, Cham n’est pas l’auteur de “Otaku“, le livre incriminé.
Cham a du mal à se faire comprendre que le livre n’est pas de lui : son éditeur, ses amis, sa compagne…. tout son environnement pense qu’il leur a fait une mauvaise blague.

Quoiqu’il en soit, la parution de ce bouquin commence à le rendre fou. Il s’informe auprès de la maison d’édition qui a publié “Otaku”. Là, on répond à certaines de ces questions : la transaction s’est faite par mail, l’éditeur est tout heureux de rencontrer l’auteur qu’il n’avait jamais vu.
A force de négation, on conseille Cham de consulter un psy. Mais des souvenirs de son enfance resurgissent : son origine cambodgienne, son adoption par un médecin… Est ce lié ??

Puis, un jour le véritable auteur de “Otaku” le contacte…. uniquement par mail. Les messages disparaissent une fois lu. Cham se rend finalement compte qu’il est espionné dans ses gestes, ses paroles… comment est-ce possible ? Qui se cache derrière les messages ? Qui a écrit “Otaku” ?

L’album est le premier tome de la série “Spyware” . Jean Claude Bauer au dessin et d’après le scénario de Didier Quella-Guyot. C’est un thriller qui joue avec deux notions : le Big Brother et la surveillance informatique. Mais quel est le but réel du scénario ? La réflexion sur le monde de demain ?
Concernant le dessin de Jean Claude Bauer, je n’accroche pas. J’ai l’impression que le dessin est bâclé, fait à la va-vite… ou peut être est ce son style ?

En conclusion, un album pas trop mal réussi avec beaucoup de mystères, de questionnements…. et de folie.

The following two tabs change content below.
Fan de Bd !! Non fou de Bd, mais je sais rester raisonnable, car c'est le compte en banque qui gueule. Les genres ? De tout, mais il faut que le scénario accroche que le dessin attire afin de plonger du côté obscur

Derniers articles parBubu (voir tous)

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *